« Un calendrier de l’Avent? Pour les RH? Humm… c’est pas un peu enfantin (ou religieux) »
Il m’arrive de l’entendre.
Souvent de la part de gestionnaires dont le mois de décembre ressemble à ceci : des échéances qui s’accumulent, des équipes à bout de souffle, et un party de Noël censé réparer des mois de déconnexion.
Ce qu’ils ne voient pas?
Le mois de décembre cache une occasion en or
Pendant que la majorité essaie juste de survivre à décembre, les organisations les plus futées, elles, en profitent. Parce que décembre a quelque chose d’unique : une permission collective de ralentir, de se reconnecter, de savourer les petits moments.
Vos équipes ont déjà la tête au congé des fêtes et au sentiment de renouveau.
Pourquoi aller contre ce courant… alors qu’on peut s’en servir?
Un calendrier de l’Avent, c’est un cheval de Troie pour transformer la culture
Derrière chaque porte qui s’ouvre, il y a une opportunité de :
C’est une stratégie déguisée en rituel.
Une structure qui a l’air de spontanéité.
La psychologie de l’anticipation
Le mot Avent signifie « attente » et il n’a rien de religieux.
Ce qu’on propose, au fond, c’est de l’action présentée d’une façon qui génère de l’élan, pas de la surcharge.
Dans un monde qui carbure à la vitesse, offrir des moments complices, intentionnels, c’est un geste de leadership radical.
C’est dire : « On choisit de prioriser la connexion, juste 10 minutes par jour. Et on regarde ce que ça change. »
Ce qui change vraiment
La confiance ne se construit pas avec des grandes déclarations, mais avec des petits gestes répétés.
Comme vous le savez, la culture d’une entreprise ne se décide pas en réunion, elle se vit entre les réunions. Pas besoin de lancer une vaste initiative de transformation. Juste une bonne excuse pour remettre la joie au cœur de l’expérience employé.
La vraie question à se poser :
Et si décembre devenait votre meilleur allié pour bâtir la culture d’équipe que vous souhaitez vraiment?